Le choix est large

En fait, les possibilités ont évolué au fil des ans, il y a des investissements qui restent sûrs, d’autres moins, de nouveaux supports de placement ont également vu le jour. Parmi les investissements qui sont demeurés, avec le temps, des valeurs sûres, la pierre est en première place. Le placement en LMNP, le crowfunding immobilier, les SCPI sont tous intéressants en tous points de vue.

Et puis, parmi les nouveautés, il y a les Fonds professionnels spécialisés ou FPS qui permettent un rendement jusqu’à 9 % l’an. Autant d’investissement qui présente peu de risques mais à rentabilité forte.

Et si vous optiez pour les produits structurés ?

De quoi s’agit-il ? Ce sont des fonds, ou unités de compte, qui peuvent être intégrés dans une assurance vie ou dans un contrat de capitalisation. En quoi est-ce intéressant ? En fait, ce sont des supports financiers qui donnent la possibilité de diversifier votre allocation d’un côté, et de l’autre, vous permettant de bien maîtriser le cadre du produit. Mais ce qu’il est important de bien prendre en compte avant d’élargir ainsi vos typologies de support financier, ce sont les conditions du produit.

Il vous faut prendre connaissance de l’indice de référence sur lequel le produit sera investi, la barrière de protection dont votre capital peut bénéficier, le rendement du support (entre 6 et 9 % par an) ainsi que la durée d’un produit structuré. Veillez à avoir toutes les informations nécessaires sur les paramètres du produit et sur la cohérence de votre choix par rapport à votre situation personnelle.

La zone euro vous attire-t-elle ?

Etant donné que l’année 2018 est un bon « millésime » pour les marchés actions dans toute l’Europe, vous pouvez profiter de cette aubaine. De quelle manière ? En utilisant votre PEA ou en en ouvrant un si vous n’en possédez pas encore. Ou bien, utilisez votre compte titre.

N’oubliez pas qu’en cette année, les principaux indicateurs macro-économiques sont largement favorables, la croissance est au rendez-vous, les taux directeurs tendent à emboîter le pas à la tendance américaine, alors, vous pouvez en profiter au maximum pour loger vos comptes titres et votre PEA.

L’incontournable assurance vie

Sachez que toutes les assurances vie n’ont pas la même valeur. Si la vôtre ne se base pas sur le seul critère de rendement en fonds euro, assurez-vous que le contrat pour lequel vous optez détienne la palette de supports la plus large possible, mais aussi la plus moderne possible. Le mieux, c’est de faire appel à un conseiller financier qui pourra accéder au maximum de choix de contrats. Veillez à ce qu’il défende correctement vos intérêts, qu’il possède les compétences techniques nécessaires et qu’il ait accès à toutes les solutions de placement les plus judicieuses qui soient.

L’effet de la pandémie du COVID-19

Il y a quelques années, l’investissement dans le bitcoin était impensable. Pourtant, l’apparition du COVID-19 a totalement changé la donne. Plusieurs particuliers et actionnaires se sont tournés vers ce système pour développer leur marché. C’est une initiative révolutionnaire pour diverses raisons. Parmi tous les systèmes de crypto-monnaies, le BTC est le plus ancien. C’est la plateforme qui présente beaucoup de transactions, donc celle qui attire encore plus de monde jusqu’à aujourd’hui. Depuis des années, l’ergonomie, la fiabilité et le développement à longue durée de ce plateau ont été au rendez-vous. Ces parts de sécurité sont les mêmes critères qui attirent plus de clients jusqu’à maintenant. Avec le temps, les services bitcoin se sont améliorés. Vous avez actuellement la possibilité de régler le virement ou l’échange par PayPal.

La facilité d’accès

Malgré la facilité d’utilisation et d’accès de certaines plateformes, le bitcoin est tout de même un système très sécurisé. Comme dit ci-dessus, il est le grand-père des plateformes cryptomonnaies, donc le niveau de sécurité s’accommode parfaitement à son titre. La raison de plus qui ajoute les qualités du bitcoin par rapport aux autres est le fait que c’est un moyen d’avoir une indépendance monétaire. Encore une fois, le bitcoin a démontré son utilité pendant le passage du COVID-19. Même si plusieurs branches de business ont connu des moments de difficulté, les investisseurs dans le bitcoin s’en sont sortis plus ou moins indemnes. Ces utilisateurs se sont rendu compte de sa valeur, encore plus qu’auparavant, ce qui a décuplé son niveau de popularité. Tout de même, le mal rôde auprès des créations high level donc les pirates trouvent un moyen de crypter et de changer certaines fonctionnalités. C’est pour cela que le domaine du bitcoin est moins fiable lorsque l’on ne prend pas en compte les détails qui différencient le vrai du faux.

Ce qu’est la cryptomonnaie

Lorsqu’on parle de cryptomonnaie, il est essentiellement question de monnaies numériques. En fait, la cryptomonnaie désigne une monnaie cryptographique. Mais c’est aussi un système de paiement de pair-à-pair. Il n’y a pas de support physique avec la cryptomonnaie. Autrement dit, on ne se sert ni de billets de banque, ni de pièces, ni de carte bancaire, ni de chèque. Ces monnaies alternatives ne sont liées à aucune banque centrale, elles ne sont pas régulées par tel ou tel établissement financier. Leur valeur ne se fonde pas sur le cours de l’or ni sur celui des devises habituelles.

Mais contrairement à ce que vous pourriez craindre, les mots d’ordre en cryptomonnaie sont transparence et sécurité. Retenez le fait que la cryptomonnaie garantit authenticité et confidentialité. Tout cela est possible grâce à la technologie Blockchain.

Qu’est donc le Blockchain ?

C’est une technologie basée sur tout un réseau qui valide et confirme chaque transaction, ce qui fait que le contrôle n’est pas effectué par une seule personne, mais par tous les membres volontaires. C’est également une technologie de registre qui rend les données plus sûres et plus transparentes.

Devez-vous investir dans la cryptomonnaie ?

Allez-vous investir dans la cryptomonnaie ? Avant de répondre à cette question, sachez qu’il y a plusieurs types de cryptomonnaie. Retrouvez ici la liste des cryptomonnaies. Sachez également que la crise sanitaire provoquée par la pandémie de la Covid-19 a grandement impacté cryptomonnaie. Mais depuis quelques mois, elle a repris de belles couleurs. Aujourd’hui, on peut même dire qu’elle est devenue une valeur refuge. Comment cela ?

En fait, lorsque le cours du dollar baisse, lorsque la situation économique est incertaine, la cryptomonnaie prend de la valeur. Il y a aussi certains facteurs qui contribuent à la hausse de la cryptomonnaie : c’est le cas du halving du Bitcoin. Ce phénomène consiste à diviser par 2 la récompense des mineurs de cryptomonnaies, tous les 210 000 blocs de transactions. Il a lieu tous les 4 ans et le dernier en date s’est déroulé le 11 mai de l’an 2020, entraînant sans faute une augmentation des cours de la cryptomonnaie. Alors, si vous voulez savoir dans quelle cryptomonnaie investir et laquelle acheter, sachez que la plupart des investisseurs optent davantage sur les cryptomonnaies au coût assez élevé et dont la capitalisation boursière est conséquente. Le mieux à faire, c’est de suivre les actualités de la cryptomonnaie pour vous immerger pleinement dans cet univers.

Quelques origines des problèmes d’argent

Dans certaines situations, la difficulté financière découle du surendettement. La plupart du temps, il s’agit d’une période passagère caractérisée par le cercle vicieux de la dette. Vous pourrez trouver la situation en vous penchant sur les fonds du problème. A titre d’exemple, certains foyers vivent au-dessus de leur moyen. Outre les ménages surendettés, les personnes dont les finances sont relativement saines rencontrent aussi des soucis de toutes sortes. Le problème vient d’un manque de marge de manœuvre. C’est parce que la famille gagne autant que ses dépenses. Dans tous les cas, il y a toujours une solution à tous les problèmes financiers. Il va falloir faire quelques concessions, quitte à changer de mode de vie.

Des solutions qui désengorgent la situation sur le long terme

La patience est au cœur même d’une résolution. Quel que soit le type de problèmes d’argent, il faut se dire que vous pourrez vous en sortir. Tôt ou tard, la situation finira par se décanter. De toute manière, il faut élaborer un plan de sortie de crise. Dans le cas du surendettement, il existe plusieurs choix dont la restructuration financière. Cette option consiste à réduire en une mensualité unique l’ensemble des dettes en cours de remboursement. Par la suite, il est fortement recommandé de s’engager dans d’autres prêts, quel que soit le motif. Si le problème vient d’un manque de marge de manœuvre, il faut faire une coupe sur certains postes de dépenses. Vous pourrez par exemple supprimer les sorties. Il vaut mieux se contenter des plats cuisinés à la maison au lieu d’aller au restaurant.

Une définition simple du crédit à la consommation

Il s’agit d’un financement demandé à une banque ou à une institution spécialisée. Dans le contrat, un emprunteur est tenu d’effectuer un remboursement échelonné durant une période déterminée. Les différents types de prêt à la consommation sont :
– Le crédit affecté pour subventionner un projet bien défini, comme l’achat d’un véhicule, ou la réalisation d’un voyage ;
– Le crédit non affecté, ne nécessitant aucun justificatif pour l’utilisation.

Les démarches à suivre pour obtenir un crédit à la consommation

Il vous sera facile d’obtenir un crédit à la consommation si votre dossier est complet, et si votre situation financière correspond aux conditions d’éligibilité requises. Pour ce faire, suivez les étapes qui ci-après :
– Prendre contact avec votre propre banque ou un établissement spécialisé dans le prêt à la consommation, et lui adresser votre sollicitation ;
– Démontrer votre capacité d’emprunt pour prouver au prêteur que vous êtes un client solvable. La banque pourra effectuer une analyse de votre situation professionnelle, mais aussi personnelle pour cette étape ;
– Monter un dossier accompagnant la lettre de demande de crédit à la consommation.

Les documents à fournir pour la demande de crédit à la consommation

Le dossier comprend principalement :
– Des pièces d’identité
– Un certificat de résidence daté de moins de trois mois
– Un justificatif des paies des trois derniers mois, et des déclarations d’impôts pour les travailleurs indépendants
– Des pièces relatives à vos crédits en cours s’il y en a
– Un compte RIB
Le prêteur accorde généralement un crédit à la consommation à un demandeur dont le taux d’endettement est en dessous de 33 %.

Ne pas décider de placer votre argent tout seul

Le premier conseil serait de ne pas décider de tout placer sur un coup de tête. Cependant, une pareille décision arrive lorsque vous entendez que des proches sont devenus riches grâce à la bourse ou un autre placement. Il se peut également que vous soyez influencé par la publicité sur les marchés boursiers en ligne. Que ce soit en bourse, dans l’immobilier ou ailleurs, il est préférable de parler à une tierce personne avant de placer votre argent n’importe où.

Les professionnels sur lesquels vous pourrez compter

Vous pourrez demander l’avis de votre assureur avant de réaliser les meilleurs placements. Cette étape sera indispensable si vous comptez toucher au fond de votre assurance-vie. Votre gestionnaire de compte ou le conseiller patrimonial de la banque pourra également vous orienter vers les investissements les plus rentables à faire. Cependant, il veillera surtout sur les intérêts de la banque. Il reste le conseiller en gestion de patrimoines qui touchera une rémunération.

Bien choisir les produits de placements

Parmi les investissements possibles, il y a l’assurance-vie. Il s’agit d’une épargne à la fois souple et accessible. Vous aurez la possibilité de placer des fonds dans divers produits. A ce titre, vous aurez le choix entre la bourse, les projets immobiliers ou les actions dans les entreprises. Grâce au crowfunding, vous misez directement votre argent dans une startup et espérez qu’elle se développe rapidement. Attention : les actionnaires de Facebook sont devenus millionnaires dans un temps record.

Pourquoi réduire les délais de clôture ?

Tous les services financiers le savent. Il faut faire un rapport périodique sur la finance de l’entreprise. L’arrêté des comptes qui peut se faire à un rythme mensuel, trimestriel, semestriel ou annuel, est un événement récurrent mettant sous pression les directions financières. Elles doivent répondre à des contraintes internes et externes à l’entreprise pour produire un rapport en bonne et due forme. Les responsables doivent produire des données financières des plus précises en tenant compte des délais exigés par le marché d’un côté et par les régulateurs nationaux et internationaux de l’autre côté. Par ailleurs, ils doivent produire des rapports financiers permettant aux directions générales et opérationnelles de l’entreprise d’évaluer la performance de celle-ci. Ces données financières permettent aux responsables compétents d’anticiper leurs actions dans un environnement à forte concurrence et en mutation perpétuelle. Ces informations permettent aux dirigeants d’être plus réactifs quant à leur prise de décision. Ainsi, il est important de raccourcir les délais de clôture des comptes pour pouvoir ajuster les stratégies marketing ou en élaborer de nouvelles. Il permet donc, entre autres, de gérer les flux intercos (production des comptes par rapport aux restructurations fiscales et juridiques sur le marché), d’améliorer la gestion des informations financières sans recourir à des outils parallèles comme les tableurs, de rationaliser et de mutualiser les données interprétées par les équipes de la direction financière (comptables, trésoriers, contrôleurs de gestion et consolideurs) et de fluidifier les échanges avec les autres départements de l’entreprise.

Quelles sont les étapes du fast close ?

Le but ultime du fast close est de raccourcir les délais de clôture des comptes. Pour que le Fast Close soit un succès, la direction financière doit s’impliquer davantage dans la réalisation des comptes. Il doit mobiliser tous les collaborateurs clés qui détiennent les informations liées aux activités financières (entrée et sortie) de l’entreprise. Mais, il est également impératif de faire appel à des consultants en fast close. Le projet se déroule en quatre étapes. D’abord, il y a le diagnostic qui consiste à évaluer le processus de clôture en cours. Ensuite, il faut améliorer la stratégie adoptée en identifiant le rôle et les responsabilités de chaque acteur sur le chemin critique de la clôture. Le but est de favoriser la réactivité et l’implication de chaque intervenant pour finaliser à temps les comptes. Après, il faut élaborer un plan d’action qui consiste à hiérarchiser les tâches à réaliser. Il faut mettre en place un calendrier de déploiement et affecter chaque intervenant à sa juste place. En outre, il faut mettre en œuvre le plan d’action en testant l’efficacité de chaque comité de pilotage avant de réaliser la clôture annuelle.

Le Salvator Mundi de Leonard de Vinci

Cette œuvre d’art qui reflète l’image du Christ sauveur coûte aux alentours de 450 millions de dollars à l’heure actuelle. D’après l’histoire, le Salvator Mundi a été commandé par le roi Louis XII dans les années 1500. Puis, l’œuvre se retrouva avec Henriette Marie, l’épouse du roi d’Angleterre Charles Ier et sœur de Louis XIII, en 1625. Et pendant des années, on a perdu sa trace jusqu’à ce qu’un collectionneur anglais l’achète en 1900. En 2011, deux collectionneurs américains acquièrent le tableau et le restaurent, et c’est à ce moment-là qu’on a découvert que la toile est vraiment l’oeuvre de Leonard de Vinci, car auparavant les gens disaient toujours qu’il s’agissait de l’œuvre de Giovanni Boltraffio, un apprenti de Leonard de Vinci. Et depuis cette date, l’oeuvre n’a cessé d’augmenter en valeur. C’était pendant une vente aux enchères en 2017 chez Christie’s que le Salvator Mundi de Leonard de Vinci a été vendu pour une somme de 450 millions en seulement quelques minutes. Il parait que l’acheteur est « Mohammed Ben Salman », le prince d’Arabie Saoudite.

L’Interchange de Willem de Kooning

Ce tableau qui a réalisé en 1955 coûte aux environs de 300 millions de dollars. C’est Ken Griffin, le dirigeant de l’« Hedge Fund Citadel LLC » qui l’a acheté pendant une vente privée organisée avec la fondation David Geffen en 2016. À part Interchange, rappelons que l’artiste Willem de Kooning a été aussi connu avec son tableau exceptionnel « Excavation ».

« Quand te maries-tu ? »

À la troisième place se trouve ce tableau de Paul Gauguin qui coûte également aux alentours de 300 millions de dollars. C’est un Qatari qui n’a pas voulu révéler son identité qui a acheté l’œuvre en 2015. Cette œuvre d’art a été réalisée par l’artiste en 1892, pendant son voyage à Tahiti. La toile représente un havre d’exotisme et un paysage paradisiaque.

Sur le Web, on retrouve habituellement des sujets sur comment devenir riche mais on aimerait bien savoir comment gérer ses finances personnelles. A quoi bon devenir riche si on n’est pas capable de gérer ses propres finances. Dans cet article, trouvez des astuces sur la gestion de ses finances personnelles.

Astuces pour assurer la gestion de ses finances personnelles

Les astuces suivantes peuvent vous aider à mieux gérer vos finances personnelles :
• Planifier votre budget : il s’agit de planifier vos revenus/dépenses et de respecter le budget planifié autant que possible.
• Contrôler le budget au moins une fois par semaine
• Définir des objectifs financiers : dans quoi pouvez-vous investir ? Que comptez vous acheter (maison, appartement, voiture, mobilier, etc.).
• Épargner ce que vous pouvez : économiser autant que possible, c’est la clé du succès financier.
• Limiter et supprimer ses dettes : les dettes ont un impact important sur votre situation financière, il faut les s’acquitter des ses dettes le plus rapidement en réduisant les dépenses moins importantes.

Autres conseils pour bien gérer ses finances personnelles

Pour bien gérer vos finances personnelles vous devez être capable de reconnaître que vos finances vont mal. Les signes suivants doivent vous interpeller :
• Votre carte de crédit ne comporte qu’un solde
• Vous ne parvenez jamais à faire des économies
• Vous comptez sur une paie à l’autre
• Vous ne parvenez pas à subvenir à vos besoins
Connaître ses signes est important mais il faut aussi gérer vos finances en fonction de votre profil : Êtes-vous un retraité ? Êtes-vous un parent ? Êtes-vous un étudiant ? Il faut préciser que les besoins ne sont jamais les mêmes pour chacun d’entre nous, un étudiant n’a pas les même objectifs à atteindre qu’un parent, par exemple.

S’assurer est une étape incontournable lorsqu’on décide de créer une entreprise. On n’est jamais à l’abri des risques qui peuvent atteindre notre personne même, les membres de la famille, l’activité choisie, les matériels ou les locaux.

Une obligation légale

Au préalable, il faut s’informer des obligations légales inhérentes à la branche d’activité. En effet, pour certains secteurs la loi impose une assurance. Il en est ainsi par exemple des agents immobiliers et des agences de voyage. Mais également pour les entreprises dans le bâtiment qui sont tenues par une responsabilité décennale. Dans la majorité des cas, les assureurs conseillent d’assurer en priorité l’activité professionnelle, les locaux avec les objets de valeur qui s’y trouvent (stocks, machines, etc.) et la perte d’exploitation qui pourrait être occasionnée par un sinistre. Autre assurance qu’il ne faut surtout pas négliger : l’assurance santé du chef d’entreprise.

Les clés pour bien choisir

Lors de la création d’une entreprise, il faut savoir faire la part entre les risques qui peuvent être pris en charge par les ressources de l’entreprise et ceux qui sont à transférer à l’assureur. On ne va pas par exemple souscrire une assurance pour se prémunir contre le bris de glaces ou de mobiliers.
Bien choisir l’assurance de son entreprise au démarrage nécessite une bonne connaissance de son activité. En effet, il existe des risques spécifiques à certaines professions qu’il faut absolument couvrir. Par exemple, une entreprise spécialisée dans le transport de marchandises assure en priorité ses véhicules professionnels. Pour une personne qui prévoit de créer une boulangerie, assurer les fours peut être envisagée.
Il faut également connaître les risques juridiques encourus. Il faut savoir qu’une entreprise franchisée a l’obligation de réparer d’éventuels dommages elle-même et non le franchiseur.
Ceux qui démarrent dans une activité qu’ils ne connaissent pas très bien peuvent consulter un assureur qui recommandera alors les garanties indispensables.