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Comment gérer les RPS ou les risques psychosociaux en entreprise ?


Au sein d’une organisation, chaque collaborateur doit être considéré comme des acteurs qui apportent de la valeur. Ainsi, il est essentiel que ces derniers aient un sens qui leurs assurent qu’ils sont considérés comme des ressources essentielles dans le processus qui engage chacun d’entre eux dans la résolution des divers problèmes relatifs au changement de l’environnement. Cela, afin de limiter les risques psychosociaux qui pourraient nuire à l’environnement interne de l’entreprise et son organisation.

Définition du RPS

Une définition figée des risques psychosociaux ou RPS ne saurait se faire que ce soit, suivant les études des termes juridiques ou suivant les statistiques existantes. Toutefois, le RPS englobe généralement le stress ainsi que les violences internes subis par un salarié, que ce soit sous une forme d’harcèlement moral ou sous une forme d’harcèlement physique. Il peut aussi, se relater sous une forme de violence externe faite par des individus extérieurs à l’entreprise mais qui sont impliqués dans son environnement (clients, fournisseurs…). Ainsi, dans sa gestion et pour la prévision des risques, il est important de savoir l’évaluer individuellement afin de percevoir les problèmes propres à chaque individu œuvrant au sein d’une entreprise et de mesurer/évaluer/apprécier dans le temps, son évolution face à la turbulence de l’environnement.

Gouvernance et gestion efficace des risques psychosociaux

La gestion et la gouvernance des RPS, doivent se focaliser autours de 4 axes majeurs. Le premier est l’organisation du travail face à l’exigence du métier. Ce qui Implique une autonomie au travail en cohérence avec la qualité attendue et une vigilance sur la concentration requise. Il faut aussi penser à un système managérial optimisant la relation au travail. Il engage la mise en valeur des rôles managériaux, les systèmes de reconnaissances, de rémunérations ainsi que la relation entre les salariés collaborant sur un métier. Ensuite, assurer la considération des attentes des salariés et la valorisation des idées. Ceci, à travers, le développement des compétences et la gestion efficace des confits éthiques. Enfin, on doit prendre en compte la gestion des impacts environnementaux. Cela, en induisant la prévision et la conception RH face aux changements à tous les niveaux.




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